Montag, 15. Oktober 2012

Baku-Fröndenberg - 3



Cayeli-Amasya-Bolu

Diesmal waren es 427 km  von Cayeli nach Amasya für die wir 9 Stunden gebraucht haben. Um 10 Uhr ging’s los und um 19 Uhr waren wir da. Das Dumme ist nur dass es um 18 Uhr dunkel ist und ich hasse es im Dunkeln zu fahren. Wir schaffen es irgendwie nie früh genug weg zu fahren! Ärgerlich. Die ersten 300 km fuhren wir am Schwarzen Meer entlang… und es ist nicht schwarz sondern tief blau! Sehr schön, wie die Küste in Sizilien sagt Karl. Wir lieben das Meer und diese Küste war besonders berauschend in ihrer Ruhe. Es war Sonntag und daher nicht viel Verkehr. Das Meer platt wie eine Flunder und glänzend wie ein Spiegel. Ein paar Fischerboote hier und da. Die Strasse ausgezeichnet. Trotzdem haben wir wieder einen Unfall gesehen. Ein Lastwagen brannte lichterloh auf der anderen Straßenseite.

Um nach Amasya zu kommen sind wir dann links abgebogen und durch die Berge nach Süd-Western gefahren. Bis 1300 m hoch. Unser armes Auto hat gekeucht. Wir haben beschlossen die Besichtigungen auf das Minimum zu beschränken um sicher zu gehen auch bis nach Hause zu kommen. Die Landschaft war ein Geschenk. Im Herbstdunst verwandelten sich die Berge zu chinesischen Aquarellen. Pappelwälder leuchteten im tiefstem gelb. Drei junge Pferde tanzten in Freiheit auf der Straße. Der Rauch von Feuern auf den Bergen roch stark nach Gewürzen.  Und langsam sank die Dämmerung auf  alles. Reine Magie!

Übrigens, wir hatten nur blauen Himmel und Sonnenschein seit Azerbaidjan. Morgen wissen wir noch nicht wie weit wir kommen. Ich denke bis nach Bolu. Auf jeden Fall wollen wir vor der Dunkelheit ankommen!

Cayelli-Amasya-Bolu

Cette fois-ci on a fait 427 km. On a mis 9 heures de Cayeli à Amasya. On est parti à 10 heures et nous sommes arrivés à 19h. Malheureusement, il fait noir à 18 h et je déteste rouler dans le noir. Malgré de bonnes résolutions on n’arrive jamais à partir assez tôt. Les premiers 300km passaient le long de la Mer Noir, qui est d’ailleurs bleu. Très belle, comme la cote en Sicile, dit Karl.  On adore la mer et cette cote était particulièrement grisante. C’était dimanche et il n’y avait pas beaucoup de trafic. La mère était plate comme une crêpe et étincelait comme un miroir. Quelques bateaux de pécheurs comme peinte sur la surface. La route était excellente. Malgré cela on a encore vu un accident. Un camion flambait de l’autre cote de la route.

Pour aller à Amasya, nous avons pris sur la gauche vers le sud ouest à travers les montagnes. On est monté jusqu’à 1300 m. Notre pauvre voiture s’épuisait. On a décidé de réduire les détours au minimum pour être  sur d’arriver à la maison.  Le paysage était un vrai cadeau. Dans la brume d’automne les montagnes devenaient des aquarelles chinoises. Des bois de peupliers étincelaient dans toutes les gammes de jaune. Trois jeunes chevaux dansaient en liberté sur la route. Des feux de bois dans les montagnes sentaient fort les épices. Et lentement, le crépuscule descendait. La pure magie.

D’ailleurs, on avait que du ciel bleu et du soleil depuis Azerbaïdjan. Demain on ne sait pas encore jusqu’ou nous irons. Je pense jusqu’à Bolu. En tous les cas on arrêtera de rouler avant qu’il ne fasse noir !

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