Donnerstag, 18. Oktober 2012

Baku-Fröndenberg 6



Canakkale-Kavala

Ich sitze auf dem Balkon unseres Hotelzimemrs in Kavala (Griechenland)  mit den Füssen auf dem Geländer und überblicke die Bucht in Nachtbeleuchtung. Wir waren griechisch essen und können uns nicht mehr bewegen. Wie Seelöwen auf dem Trockenen!!! Heute haben wir nicht so viele Kilometer (300) abgefahren, dafür die Fähre zwischen Lapseki und Gelibolu genommen und die Grenze nach Griechenland überquert.  Und noch eine Sprache die wir nicht lesen können. Bei der Überfahrt haben wir ein türkisches U-Boot gesehen, was uns an die prekäre politische Situation mit Syrien erinnert hat. War erstaunlich einfach in die EU zu kommen, trotz unseres aserischen Nummernschilds. Die deutschen Pässe haben natürlich geholfen. Auf der griechischen Seite war unser erster Reflex einen griechischen Kaffe zu trinken… obwohl ich eigentlich das Teetrinken zu allen Tages- und Nachtzeiten schätzen gelernt habe.

Die Autobahn  in Griechenland entspricht europäischen Standards und ist natürlich mit EU Geld finanziert. Zu unserem Glück auch wenig befahren. Die Landschaft ist schön aber sehr karg. Das Licht ist sehr hell und gleißend. Alles wirkt irgendwie überbelichtet. Es ist sehr heiß. Olivenbäume und Baumwollfelder prägen das Bild. Hier und da erwischt man einen Blick auf ferne Inseln. Das regt zum Träumen an. Wir standen wieder mal auf Kriegsfuß mit dem Garmin um das Hotel zu finden. Es leitet uns immer wieder durch die Pampa, obwohl es direkte Straßen gibt. Ich versteh es einfach nicht! Morgen fahren wir bis Igoumenistsa und nehmen die Fähre nach Bari. Blöderweise wird sie wegen Streiks (in Italien? in Griechenland?) um 6.40 morgens (anstatt um Mitternacht) abfahren. Wir müssen also ein Hotel buchen und verlieren 6 Std. Fahrt. Ich weiß nicht ob wir es bis Sonntag nach Hause schaffen… sonst wird es eben Montag.

Canakkale-Kavala

Je suis assise sur le balcon de notre chambre d’hôtel à Kavala (Grèce). Les pieds sur la rambarde, je regarde la baie illuminée. On a été mangé grec et on ne peut plus bouger. Comme des phoques sur les rochers !!! Aujourd’hui on n’a pas fait tant de kilomètres (300), mais on a pris le bac entre Lapseki et Gelibolu et traverser la frontière vers la Grèce. Et encore une langue qu’on ne sait pas lire. Dans le détroit de la mer de Marmara on a rencontré un sous-marin turc. Ca nous a rappelé la situation politique précaire avec la Syrie. C’était étonnamment facile d’enter dans l’Union Européenne, malgré notre plaque minéralogique azérie. Les passeports allemands y étaient probablement pour quelque chose. Notre premier reflexe en Grèce était de boire un café grecque. pourtant je m’étais habitué à boire du thé à n’importe quel moment du jour ou de la nuit.

L’autoroute en Grèce correspond aux standards de l’Union Européenne et est naturellement financé avec de l’argent de l’UE. Pour notre bonheur elle était peu fréquentée. Le paysage est beau mais très aride. La lumière est très forte. Tout semble surexposé. Il fait très chaud. Des oliviers et des champs de coton y dominent. Par ci par là on aperçoit des iles au loin. Ca fait rêver. On était à nouveau sur pied de guerre avec notre GPS. Il nous guide à travers la pampa, malgré qu’il y ait des grandes routes. Ne comprends pas ! Demain on ira à Igoumenitsa d’où on prend le ferry pour Bari. Pour notre malheur, le ferry a été retardé cause de grèves (en Italie ? en Grèce ?). Au lieu de partir à minuit, il par à 6.40h du matin. On doit donc réserver un hôtel et perdons 6 heures de route. Je ne sais pas si on réussira à rentrer dimanche… aussi non ce sera lundi. Tant pis.

Keine Kommentare:

Kommentar veröffentlichen